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Le
21 Septembre :
Au
retour, après une belle marche à la découverte
de Rose Blanche, nous transvasons 50 litres de fuel et partons
vers 11h30. |
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| Malgré
un vent irrégulier, nous naviguons à la voile
jusqu'à Grand Bruit où nous arrivons vers 16h30. |
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Après
l'amarrage, nous partons à la découverte du village. |
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" Grand
Bruit est née dans les années 1800, sans doute grâce
à son port bien protégé, son abondance en forêts
et en eau fraîche et la proximité de riches lieux de
pêche.
Suite au déclin de la pêche,
l’activité du village est tombée inexorablement.
En 2009, les habitants ont voté pour une relocalisation.
Le village a été fermé définitivement
en 2010.
Certains résidents utilisent encore,
de façon saisonnière, leurs maisons comme chalets
d'été."
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| (voir l'article
complet de Gérard Morel) |
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Nous
rencontrons Linda Farrell et son mari, les seuls habitants pour
cet été. Elle nous offre des partridgeberries
et des tomates de son jardin. |
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Le
lendemain matin, nous visitons l'autre partie du village.
Beaucoup de maisons commencent à se détériorer
faute d'entretien. Bientôt ce ne seront plus que des
ruines.
Nous déposons un bocal de pâté
à la maison de Linda qui n'est pas chez elle. Dommage. |
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Le
bateau rangé, nous partons vers 11h30. Très bonne
visibilité malheureusement pas de vent c'est donc la risée
volvo. Ce sont les grandes marées d'équinoxe et nous
apercevons de nombreux cailloux qui restent souvent sous l'eau.
En fin d'après-midi, nous nous amarrons comme d'habitude
au nord du quai du ferry. |
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Le
23 Septembre :
Après
le petit déjeuner, grâce à une connexion wifi,
nous parlons longuement avec Aurélie. |
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Départ
après la sieste pour Doctor Harbour, mouillage où
deux aigles nous souhaitent la bienvenue.
Nous prenons une douche dans le cockpit
dans un calme absolu. Super!!! |
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Depuis
notre mouillage, nous apercevons le "Bassin Intérieur"
où un plaisancier y a trouvé refuge lors du passage
du cyclone Bertha en 1990. |
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Le
lendemain, nous descendons à terre à marée
basse et |
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commençons
à relever les fonds du "bassin intérieur"
avec notre sonar
à main. |
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Le
25 Septembre :
Le sur-lendemain, dès le levé
du jour, nous continuons nos sondages.
Par sécurité, il faudrait poursuivre les relevés
de sonde. |
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| Puis
vers 10h, nous levons l'ancre pour Ramea Islands. La vue de
ce passage nous donne de nouvelles envies de découvertes. |
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| Pas
de place au quai du centre du village, nous nous amarrons à
celui de l'usine à cause des vent d'Est annoncés.
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Du
25 Septembre au 1er Octobre :
Nous restons en attente d'une météo
favorable.
Nous en profitons pour effectuer de nombreuses
balades au tour de l'île grâce aux trottoirs en bois. |
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Au
NW de l'île, nous constatons les dégâts occasionnés
par les tempêtes de cet hiver : trottoirs et galets déplacés. |
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L'eau
de consommation est filtrée par la station qui pompe
l'eau de pluie dans l'étang qui sert de bassin de rétention. |
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Le
1er Octobre :
Départ
dès 7h du matin, les deux premières heures se font
au moteur. Puis, dès que nous sortons de sous le vent de
Raméa Islands, en moins d'une minute, les vents de SW se
lève à 25 / 30 nœuds. Vers le cap du Nid à
l'Aigle (Miquelon), quelques vagues s'abattent sur le pont.
Si le bateau se comporte bien, le capitaine, lui, est malade.
Arrivée
à fortune vers 21h.
En
attendant les Taravana, nous nettoyons et révisons
le bateau, rinçons les vêtements de navigation, etc... |
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Arrivée
des Taravana le 6 Octobre. Nous
leur faisons découvrir la péninsule de Burin
et leur montrons les magasins en prévision de leur
hivernage.
Nous
allons aussi ramasser des canneberges qui sont mis en bocaux; |
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Le
19 Octobre :
Enfin un créneau favorable
pour aller à Miquelon saluer quelques amis.
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| En
arrivant, nous découvrons de magnifiques voiliers qui
vont passer l'hiver sur le terre-plein. |
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Deux
jours plus tard, nous voilà de retour à Saint-Pierre.
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